Le Domino Institutionnel : pourquoi les Magnificent 7 pourraient finir par empiler du Bitcoin!
On vit peut-être le début d’un basculement silencieux. Bank of America ouvre la voie aux cryptos.Vanguard, le temple du conservatisme financier, change de doctrine et liste enfin le Bitcoin.Grayscale prédit un cycle brisé et de nouveaux sommets. • Bank of America BoA permet désormais à certains clients d’allouer jusqu’à 4 % de leur portefeuille à des actifs numériques.
Pour une banque qui a passé 10 ans à répéter que « Bitcoin n’a pas de valeur intrinsèque », c’est un revirement total.
• Vanguard C’est LE point le plus sous-estimé.
Vanguard a longtemps refusé toute exposition au Bitcoin, même indirecte.
Leur changement d’avis est historique.
• Grayscale Le gestionnaire qui connaît le mieux les flux institutionnels annonce déjà une rupture du cycle. Pas une montée graduelle.
Une rupture.
Pourquoi tout ça arrive maintenant ? Trois raisons simples : Les ETF ont légitimé Bitcoin comme un actif “investissable” pour les institutions.Les clients réclament de plus en plus d’exposition.Les modèles de gestion moderne exigent une allocation diversifiée et non corrélée.Même 1 % de Bitcoin dans un portefeuille de gestion privée → c’est des milliards de flux entrants. Alors imagine 4 %…
Imagine Vanguard…
Imagine la contagion. Le Domino Institutionnel : ma théorie Dans la finance, les grandes décisions ne se prennent pas en silo. Les dirigeants passent d’un board à un autre.
Les consultants bossent pour plusieurs géants à la fois.
Les asset managers se comparent en permanence. Les banques copient les innovations de leurs concurrentes. C’est un écosystème incestueux au bon sens du terme : tout le monde influence tout le monde. Et lorsqu’un acteur systémique change de doctrine, les autres suivent, par prudence ou par opportunisme. C’est le Domino Institutionnel : Une institution pivote → une autre se couvre → une troisième ajuste → le marché bascule. Les Magnificent 7 : le vrai “endgame” Si le mouvement touche les géants de Wall Street, pourquoi s’arrêterait-il là ? Les Magnificent 7 (Apple, Microsoft, Google, Meta, Amazon, Nvidia, Tesla) détiennent plus de 600 milliards de cash cumulés.
Elles ont deux problèmes : L’inflation érode leur trésorerie.Le dollar est trop dominant dans leur bilan. Elles cherchent donc des hedge : L’argument n’est plus idéologique, il est purement comptable. Tesla l’a déjà fait.
Si Apple, Microsoft ou Google mettaient 1 % de trésorerie dans Bitcoin, ce serait entre 4 et 10 milliards d’achat instantané. Un seul move, et la psychologie du marché change pour dix ans. Les obstacles Régulation comptable US encore pénibleVolatilité perçue comme un risquePressions ESG (même si la preuve énergétique est en train de tourner en faveur du mining) Mais l’histoire montre que ces freins cèdent quand les performances deviennent trop visibles. Conclusion BoA, Vanguard, Grayscale…
Ce ne sont pas des signaux isolés.
Ce sont les premiers coups de semonce. Les géants de Wall Street changent d’avis.
Les CFO des Big Tech observent.
Les boards se parlent.
Les clients poussent. Le domino institutionnel est en place. Il manque juste la première impulsion. Et quand elle tombera… tout tombera. $BTC
Depuis la fin du Quantitative Tightening (QT) de la Fed le 1er décembre 2025, qui évite une réduction mensuelle de 25 milliards de dollars de liquidités en Treasuries, plusieurs injections ont eu lieu pour stabiliser le système financier.
La capitalisation boursière totale des stablecoins vient de dépasser les 300 milliards de dollars, avec plus de 210 millions de détenteurs.
#tetherUsdt conserve une part de marché dominante d'environ 60 % avec près de 188 milliards de dollars, tandis que l'USDC se bat pour la deuxième place avec 76 milliards de dollars.
Dans ce jeu, la domination ne consiste pas à être le choix « le plus sûr », mais à être celui que tout le monde utilise.
Le sentiment de marché suite à la baisse de taux est mixte.
Les marché sont soulagés dans l'immédiat avec un "hawkish cut" (25 bps comme prévu), mais le dot plot ultra-restrictif (seulement 1 cut en 2026) et les 3 dissensions freine l'euphorie.
Les actions sont en hausse modérée, le taux à 2 ans en baisse, le dollar stable.
Les investisseurs digèrent une Fed plus hawkish que prévu, data-dependent, face à une inflation tenace et des risques tariffs.
À court terme : optimisme modéré sur les actifs risqués. La Fed indique qu'elle va acheter pour 40 milliards$ de bons du Trésor et que ces achats vont commencer à partir du 12 décembre.
Principaux points saillants de la décision du FOMC de décembre 2025 :
Baisse des taux : La Fed a réduit le taux directeur de 25 points de base, le portant à une fourchette de 3,50 % - 3,75 %. Il s'agit de la troisième baisse consécutive en 2025.
Vote divisé : Décision adoptée par 9 voix contre 3 dissensions (le plus grand nombre depuis 2019), reflétant des désaccords sur la priorité entre emploi et inflation.
Projections futures (Dot Plot) : Prévision d'une seule baisse supplémentaire en 2026, puis une autre en 2027, avant un taux à long terme autour de 3 %. Sept officiels ne prévoient aucune baisse en 2026.
Bilan et liquidités : Annonce de la reprise des achats de titres du Trésor (Treasury securities) pour gérer les réserves ; fin de la réduction du bilan depuis le 1er décembre.
Perspectives économiques : Croissance modérée, ralentissement de l'emploi, inflation persistante au-dessus de 2 % (influencée par les tarifs douaniers). La Fed adopte une approche prudente, évaluant les données au cas par cas.
Un thread pour comprendre l'escalade explosive de ces 7 derniers jours ACTE I : La bombe du 5 décembre 120 millions d'euros. C'est l'amende que la Commission européenne vient d'infliger à X (ex-Twitter) pour violation du Digital Services Act. La réaction de Musk ? Un simple mot : "Bullshit" Mais ce n'était que le début d'une tempête qui allait secouer l'internet pendant 48h. L'EXPLOSION : Plus de 25 posts en 48h Ce qui suit n'est pas une simple dispute réglementaire. C'est une déclaration de guerre idéologique. Les reproches de l'UE : Design trompeur du badge bleuManque de transparence sur les publicitésRefus d'accès aux données pour les chercheurs La réponse de Musk transforme cela en croisade pour la liberté d'expression. LES CITATIONS QUI ONT FAIT TREMBLER BRUXELLES "Freedom of speech is the bedrock of democracy. Without it, the West will fall." Musk ne parle plus d'une amende. Il parle de l'effondrement de la civilisation occidentale. Il va plus loin : "The EU woke Stasi commissars" - comparant les régulateurs européens à la police secrète est-allemande. L'effet Streisand qu'il mentionne ? Ses posts totalisent plus de 28 millions de vues. LE TWIST : "Ce n'est pas contre X, c'est personnel" Le 5 décembre, Musk révèle quelque chose d'explosif : "L'UE a imposé cette amende folle non seulement à X, mais aussi à moi personnellement, ce qui est encore plus dément !" Sa conclusion ? Les sanctions américaines devraient viser non seulement l'UE, mais les individus qui ont pris cette décision. Ted Cruz applaudit. L'escalade diplomatique commence. LE MESSAGE CENTRAL : Une distinction cruciale Musk martèle cette nuance dans chaque message : "J'adore l'Europe, mais pas le monstre bureaucratique qu'est l'UE" Pour lui, l'Europe (la culture, les peuples, la civilisation) ≠ L'UE (la bureaucratie, la censure, l'oppression). À une députée européenne réclamant le paiement : "Je suis un grand fan de l'Europe, mais pas des bureaucrates comme vous qui étouffent le continent !" L'APPEL FINAL : #AbolishTheEU Le 6 décembre marque le pic de virulence avec un message répété obsessionnellement : "L'UE devrait être abolie et la souveraineté rendue aux pays individuels" Ses arguments : "La bureaucratie de l'UE étouffe lentement l'Europe à mort""L'Europe marche dans son sommeil vers l'oubli""La tyrannie bureaucratique non élue opprime les peuples d'Europe" Il propose même une réforme radicale : élection directe du président de l'UE par les citoyens. LES CHIFFRES DE LA TEMPÊTE ~25 posts directement liés à l'UE en 48h28+ millions de vues sur les posts clés0 post positif sur l'institution européenneUne timeline détaillée des "attaques" de l'UE contre X depuis 2023 Le silence avant la tempête ? Aucune mention de l'UE du 30 nov. au 4 déc. L'IRONIE DU SORT Musk cite lui-même "l'effet Streisand" : en essayant de censurer X, l'UE a donné à Musk la plus grande plateforme possible pour sa croisade. Résultat ? Des dizaines de millions de personnes découvrent son message anti-UE. La censure crée exactement ce qu'elle cherchait à éviter : l'amplification. ANALYSE : Pourquoi c'est important pour crypto Cette bataille dépasse X. Elle concerne : La régulation tech - Demain, ce sera la cryptoLa liberté d'expression - Fondamentale pour les communautés décentraliséesLa souveraineté numérique - Qui contrôle les plateformes mondiales ? Le DSA d'aujourd'hui, c'est MiCA pour la crypto demain. Ton avis ? Musk a-t-il raison de se battre contre la bureaucratie, ou va-t-il trop loin ? Partage ce thread si tu penses que cette histoire mérite d'être connue !
Larry Fink, PDG de BlackRock, affirme que les fonds souverains accumulent déjà le Bitcoin comme un actif de réserve stratégique.
Parmi les exemples notables sur la liste des fonds souverains impliqués, celui qui se distingue est le Fonds souverain intergénérationnel du Luxembourg (FSIL), qui a alloué 1 % de ses actifs (environ 7 millions d'euros) au Bitcoin de manière explicite pour sa réserve nationale.
8 raisons qui marque la fin du cycle de 4 ans pour Bitcoin
On est en train d’assister à un basculement historique. Pendant plus de 15 ans, Bitcoin a été enfermé dans une narration simple : un halving tous les quatre ans, un bull-run, puis un bear-market.
Mais ce schéma est en train de voler en éclats, et les signaux se multiplient à une vitesse jamais vue. Jerome Powell lui-même a lâché la phrase que personne n’attendait : “Bitcoin is like gold.”
Quand le président de la Fed compare officiellement Bitcoin à l’or, ce n’est plus un actif spéculatif : c’est un actif macro, intégré dans la logique monétaire globale. Raoul Pal va dans le même sens : il explique que nous sommes dans un business cycle allongé, un “elongated debt cycle”, où les actifs monétaires solides montent beaucoup plus haut et beaucoup plus longtemps. Et dans ce contexte, Bitcoin ne peut pas rester enfermé dans son ancien cycle. 1. Les US se préparent ouvertement à un choc “réserve nationale Bitcoin” Cynthia Lummis évoque ouvertement l’idée que les États-Unis pourraient acheter du Bitcoin.Polymarket price déjà une probabilité de 61 % que les US constituent une réserve nationale BTC avant 2027.Le congressman Warren Davidson ajoute que les US pourraient financer cette réserve en acceptant les taxes en BTC. On n’est pas dans le futur : on est dans la pré-phase d’un standard Bitcoin géopolitique. 2. Les mastodontes de Wall Street s’alignent
Bank of America conseille désormais d’allouer jusqu’à 4 % en Bitcoin.Vanguard, anti-bitcoin depuis toujours, pivote soudainement et liste le BlackRock Spot ETF.Charles Schwab, un des plus gros gestionnaires US, annonce l’arrivée de Bitcoin S1 2026.JPMorgan lance un produit d’investissement pour parier sur la hausse du BTC. Les anti-BTC deviennent pro-BTC. 3. Les États commencent à acheter Le Texas vient d’acheter 5 millions de dollars en ETF Bitcoin de BlackRock.
On est littéralement dans les débuts de l’adoption souveraine à grande échelle. 4. BlackRock : Bitcoin devient le business le plus rentable du groupe
Les ETF Bitcoin d’IBIT s’imposent comme la source de revenus la plus rentable de BlackRock.
Et ce n’est pas un détail :
Le Nasdaq vient de placer IBIT dans la même classe réglementaire que les actions les plus liquides de la planète. On parle d’un changement structurel de marché. 5. L’arrivée des “Bitcoin Native Companies” Les actionnaires de Cantor Equity Partners ont validé la fusion avec Twenty One Capital de Jack Mallers.
La nouvelle entité — XXI — sera cotée au NYSE le 9 décembre, devenant la première entreprise 100 % Bitcoin native cotée en bourse.
C'est un changement de paradigme identique à l’arrivée des premières “Internet native companies” des années 2000. 7. Bitcoin approche de sa limite : 95 % déjà minés Il ne reste plus que 5 % du supply à miner.
Combine ça à la demande institutionnelle…
Tu comprends pourquoi le cycle traditionnel ne tient plus debout. 8. Le narratif géopolitique explose Brian Armstrong (Coinbase) l’a dit en live sur Fox : Tous les pays du G20 finiront par se doter d’une réserve stratégique de Bitcoin. On n’est plus dans la spéculation, mais dans la compétition internationale. Ma thèse : le cycle est brisé, Bitcoin rejoint la logique de l’or Depuis 2015, Bitcoin évolue dans une trend macro propre, parfaitement respectée et récemment retestée avec succès.
Je l’expliquais dans ma dernière vidéo, allez la voir si ce n’est pas encore fait.
Avec tous ces signaux combinés, voici ce que j’anticipe : 📌 Le cycle de 4 ans est mort.
📌 Objectif réaliste : entre 140 000 et 220 000 $ en 2026.** 📌 Bitcoin entre dans l’ère de la corrélation à l’or
Et je vais plus loin :
Je pense qu’un des Magnificent 7 va bientôt intégrer Bitcoin dans sa trésorerie.
Une Apple, une Google, une Meta peut déclencher un choc de liquidité monumental. Le vrai edge : relier les informations, pas juste les lire Le marché n’est pas en manque d’informations. Il est en manque d’interprétation. La différence entre ceux qui gagnent et ceux qui se font diluer ?
- C’est la capacité à relier les signaux, comprendre la macro, la liquidité, les institutions et l’évolution du narratif.
- C’est la capacité à construire une thèse cohérente, solide, sans biais cognitifs.
C’est précisément ce que je fais dans Les Clés des Marchés. Si tu veux comprendre vraiment où va Bitcoin, et pourquoi, abonne-toi.
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